LE TRIPODE

L'Entroubli

Thibault Daelman


Dans un quartier populaire de Paris, une mère dévouée, parfois dépassée et excessive, tente, en dépit de l’adversité et d’un père alcoolique, d’élever cinq garçons. Chez l’un d’eux, en écho aux drames et aux joies qui le criblent depuis l’enfance, s’impose la nécessité d’écrire. Comme si la vraie vie était là, dans les mots et une mémoire démentielle. 

L'illustration de couverture a été réalisée par Giulia Leonelli.

 

Sélectionné pour le prix Wepler –  Fondation La Poste

Sélectionné pour le prix du premier roman des Inrockuptibles

Sélectionné pour le prix du Premier Roman 

Sélectionné pour le prix Révélations d'automne de la SGDL

Sélectionné pour le prix Envoyé par la Poste

Sélectionné pour le prix Talent Cultura

Sélection des Libraires ensemble 

Sélectionné pour le prix des Jeunes Mousquetaires 

L’Auteur

Né en 1990, Thibault Daelman a suivi des études artistiques et anime aujourd'hui des ateliers d'écriture créative, notamment à la Sorbonne. L'Entroubli est son premier roman.

Presse

Un époustouflant premier roman. Le personnage de la mère, acharnée, désespérée, roublarde et terrible, est littéralement inoubliable.
Marie NDiaye – Le Nouvel Obs

J'ai été impressionnée par L’Entroubli.
L’auteur est présent sur toutes les phrases, n’en lâche aucune, c’est beau. Surtout, c’est une phrase singulière. Le fait d’inscrire son premier roman dans une telle expérience du langage est très fort.
Maylis de Kerangal
 
L'Entroubli est un livre hors-catégorie. (...) L'auteur élabore des images bien à lui, qui excèdent large,ent la description réaliste d'un milieu social. C'est un livre qui bruisse, comme si sans cesse, la sensation et la sensation enfantine de surcroît, débordait le récit. 
Lucile Commeaux – "Le Regard culturel" – France Culture 

C'est saisissant, flamboyant, d'une simplicité redoutable. [...] C'est absolument magnifique. 
Patricia Martin – "Le Masque et la Plume" – France Inter

Un premier roman très littéraire. Tour à tour lyrique et âpre, le texte décrit au plus près le quotidien assez terrifiant vécu par le jeune narrateur, marqué par l'alcoolisme et la folie des adultes, tout en ménageant des instants lumineux d'amitié, de joie pure de l'enfance. 
Sylvie Tanette – Les Inrocks 

Dans un premier roman "sonore", Thibault Daelman fait résonner le tumulte lorsque le chaos tient lieu de milieu. 
Fabrice Delmeire - Focus Vif

Une plume aussi lucide que gracieuse.
Sean Rose – Livres Hebdo 

Premier roman marquant, construit en fragments du quotidiens d'un garçon en périphérie de Paris. une écriture subtile et poétique aui accompagne son éveil au monde.
Noémie Dell'aira – Elle Belgique

La naissance d'un écrivain. 
Gabrielle Napoli – En attendant Nadeau 

Une œuvre puissante qui interroge la mémoire autant qu’elle la déchire.
Nicolas Gary – Actualitté 

Un vertige. 
Nicolas Roberti – Unidivers 

C'est excellent ! 
Martin Boujol – @la.nuit.sera.mots

Un livre inoubliable, à croire qu'une partie de la mémoire se trouve au centre de l'entroubli. 
Christopher Laquieze – @chris.laquieze

Vraiment un très bon premier roman !
Julie – Librairie Le Pavé dans la marge – Mérignac

Quelle finesse, quelle analyse, quelle lucidité simple, quel talent d'écriture ! 
Margot – Librairie Passages – Lyon

Un si grand coup de cœur, un roman incroyable !
Théo – Librairie Le Bateau livre – Lille

La plume de Thibault Daelman est magnifique, sensible. On entend le poète dans le choix des mots, le rythme et la musicalité, dans ces phrases qui expriment incroyablement ce qui est, simplement, et jamais ne s'exprime à voix haute. Une beauté de lecture !
L'histoire est touchante et vraie. L'histoire d'une famille populaire et pauvre, le quotidien et les années, la souffrance et la douceur mélangées, contés par l'un des cinq fils chez qui naîtra le besoin d'écrire. Pas de larmoyant, la tendresse est omniprésente.
La mère, cette figure admirable d'amour et d'abnégation, porte chacun à bout de bras, pied de nez à une fatalité sociale à laquelle on pourrait s'attendre. Chacun des enfants, de sang ou d'accueil, est différent et aimé pour ce qu'il est. Le père, certainement le plus dysfonctionnel de la famille, aimant et aimé malgré la maladie qu'est l'alcoolisme. L'amoureux aussi, cabossé et tendre comme chacun des membres de la famille dans laquelle il aura toute sa place sans ombre faite au père.
Ce que j'ai aimé vivre à leur côté le temps de cette lecture !
Emmanuelle – Librairie Liber & Vous – Bourgueil

Une écriture incroyable.
Chloé – Librairie Clareton des sources – Béziers

Une histoire singulière racontée avec une langue singulière !
Je dirais plutôt une écriture vraie, tant on comprend très rapidement qu'elle vient des tripes de l'auteur. Je ne connais pas Thibault Daelman, mais je pense néanmoins qu'il a utilisé la seule forme d'écriture qui se présentait à lui pour que son texte sorte.
Thomas Poyatos – Cultura – Cabriès

J'ai beaucoup aimé L'Entroubli. Un auteur à l'écriture sincère et au vocabulaire précis. J'ai aimé cette fratrie de guingois, tous ces garçons se partageant un espace réduit, cette mère qui porte à bout de bras la famille, ce père, démissionnaire mais aimant. Ce roman pourrait être sordide, or il ne l'est pas, grâce à la chaleur de ses personnages. Une ambiance bienveillante pas dessus tout, sa légèreté aussi.
Claire – Fnac – Grenoble

Un excellent roman. Je suis stupéfait par la maturité de l'écriture.
Mehdi – Librairie Mots et Cie – Carcassonne

L'Entroubli est un premier roman dont la force du texte donne écho à la mémoire, grave des images au plus profond de l'être. 
Didier – Librairie des Pertuis – Île d'Oléron

Un nouvel auteur découvert par Le Tripode ! Des plis de sa mémoire souvent douloureuse, le narrateur fait ressurgir des clichés d'enfance et d'adolescence, coincé entre ses quatre frères, une mère despote, un père impotent, leur sort implacable dans une cité HLM parisienne. Et la poésie qui permet de surnager cette vie-là.
Marion – Librairie Le Vent Délire – Capbreton

Une langue singulière et fracassante, la poésie pour sauver du naufrage familial. Un premier roman qui oscille avec panache entre la rage et la tendresse.
Librairie Le Divan – Paris 15e

Un miracle littéraire encore signé Le Tripode. Porté par un style à la fois éblouissant et abrasif. Dense, percutant mais aussi assez exigeant.
Nico – Librairie Le Corner – Bruxelles

Un texte brillant et percutant !
Largement autobiographique, ce romancier nous explique aussi combien les mots ont toujours été un refuge pour lui.
À découvrir !
Librairie La Fabrique du Monde – Houdan

Je viens de refermer L'Entroubli : quel talent !
Page après page, le charme opère. Thibault Daelman réussit à produire l'effet d'une musique douce cependant qu'il égrène des accords d'un trop plein de souffrance. Le premier coup de cœur de cette rentrée littéraire.
Carole – Librairie du Bon Marché – Paris 7e

Quelle écriture fluide, sans aspérité, pour décrire ce déterminisme social – ce que les chroniques de faits divers s'étonnent de la violence de cette fraction grandissante de la population en panne d'espoir, d'ascenseur social. Sous la plume de Thibault Daelman, la vie n'est pas un long fleuve tranquille mais elle s'écoule, sans dévier, vers l'inéluctable. BRILLANT ET ENTÊTANT !
Jean-Frédéric – Fnac – Mâcon

Incroyable et merveilleux roman !
Voici un premier roman qui sort en cette nouvelle rentrée littéraire. Un premier roman travaillé, peaufiné, réécrit, au fil des années afin de nous livrer un texte si abouti qu'il en frôle la perfection. L'auteur nous raconte ici sa vie, son enfance dans la précarité. Cette mère qui tient la maison à bout de bras, ce père alcoolique qui ne bouge pas de son fauteuil, l'école de cette ambiance particulière de la cour de récré, cette fratrie soudée et en même temps si différente, et lui : Thibault.
Une bouleversante honnêteté sur la vie et ses failles, un roman à lire absolument !
Margot – Librairie La Petite marchande de prose – Sainte-Savine

Subjuguée par la langue de Thibault Daelman.
Valérie – Librairie Papiers collés – Draguignan

Mais d'où sort ce Thibault Daelman ? À chaque paragraphe, il y a au moins une phrase ou une idée qui marque.
Thibault – Librairie Carpe Diem – Munster

C'est puissant, quelle écriture. J'ai pensé au début de Vies minuscules de Pierre Michon ("Avançons dans l'examen de mes prétentions").
Quelle mythologie familiale, complexe, bancale, magnifiée par le style de l'auteur, on parle peu des classes populaires avec un tel registre langagier, il y a de l'amour entre les lignes, pour cette fratrie, cette mère perdue, ce père alcoolique.
David – Cultura – Chambray-les-Tours

Un roman fort, assez troublant aussi, avec ces personnages tout en subtilité.
Élisabeth – Librairie Mazette – Marseille

Un livre magnifique. Ce texte ne triche jamais, il dit l'ombre, la lumière, la survie. Sorti des addictions il ne lui reste qu'une dépendance, la littérature.
Dominique – Fnac – Montpellier

"J'ai toujours eu goût à entendre la langue et à parler mais n'ai jamais écrit à mon initiative. Par défi, je m'y risque." Thibault Daelman se risque donc à L'Entroubli. Avec précision. Avec des mots qui chantent et s'entrelacent, il remonte le temps de l'enfance puis de l'adolescence. On est pris dans la toile de L'Entroubli, le rythme de la langue et les souvenirs du narrateur. Un premier roman qui laisse une empreinte.
Stéphanie – Librairie Coiffard – Nantes

Qu'est-ce qui nous fait écrivain si ce n'est la langue et le style ?
Thibault Daelman raconte une histoire d'enfance qui se construit dans l'entroubli, dans cette zone où les souvenirs pourraient vaciller dans le chaos ou la beauté du monde, dans l'absence ou la mémoire. Il fait le portrait d'un enfant dans une succession de Polaroïds où le passé a découpé des sentiments et il nous les offre dans une langue si singulière, une langue qui s'apprivoise, qui ne s'offre pas à la première lecture mais qui s'annonce et s'énonce comme un don à celles et ceux qui lisent entre les lignes, qui croquent la matière tendre du mot pour s'en nourrir.
Le style fait tout et il fait de Thibault Daelman un écrivain. Sa voix porte loin, elle transporte dans ces ombres du temps où nous inventions des poèmes où les sons dansaient. Sa voix raconte un enfant qui était déjà un écrivain, que le verbe a tenu droit et haut et qui aujourd'hui écrit comme il déclame dans la virtuosité d'un style qu'il habite pleinement.
Cyrille Falisse – Librairie Papiers collés – Draguignan

L'Entroubli est un texte profond qu'on sent urgent et viscéral. C'est l'écriture de soi comme un vertige. Une pure merveille, déconcertante de beauté et de poésie.
Librairie Delamain – Paris 1er

L'Entroubli ! Un immense coup de cœur.
Hélène des Ligneris – Librairie La Machine à Lire – Bordeaux

Quelle PÉPITE !!! Une écriture ABSOLUMENT BLUFFANTE, d'une force incroyable et en même temps d'une poésie enivrante !!!
Marie-Claire – Librairie Page 10/2 – Vendôme

Un premier roman d'une grande maturité. Une écriture riche, sublime et fabuleusement poétique ! À découvrir !
Juliette – Librairie Le Passeur – Bordeaux

Thibault Daelman a dû convoquer les dieux tellement son écriture est dense, riche et brillante pour un premier roman.
C'est à mon humble avis la révélation de la rentrée littéraire 2025.
Julien – Libraire Dialogues – Brest

Parmi les publications de la rentrée littéraire je viens de lire L'entroubli et quel choc! Récit d'une enfance cabosséee, doux euphémisme, un univers à la Pialat, mais surtout quelle écriture! Quelle langue! C'est vraiment magnifique...
Je me suis senti comme emportée par les mots, à la fois leur poésie, leur chair, et puis ce moment d'épiphanie, "je suis une fleur", où les mots, et trop souvent nous l'oublions, sont des semances de lumières. L'une de mes rencontres de cette "rentrée".
Frédéric – Librairie Mot à Mot – Pertuis

Paris, dans un quartier populaire, une famille : cinq garçons, une mère dévouée, débordante, dure, un père alcoolique méprisé. Les souvenirs de l'enfance et de l'adolescence s'écoulent entre vie quotidienne, épreuves, douleurs et petites joies. Au milieu de tout ça, une passion viscérale pour l'écriture que l'on retrouve dans le style dense et riche de l'auteur. Un premier roman poignant !
Zoé - Librairie Sensations – Douai 

Un très beau premier roman absolument bouleversant servi par une langue singulière qui emporte.
Librairie Le Monte-en-l'air – Paris

Dans une langue hypnotique, l'auteur, loin de toute fatalité sociale, signe un premier romanqui laisse éclater la part d'humanité qui sommeille en chacun de nous.
Margot – Librairie La Petite marchande de prose – Sainte-Savine

 L'une des grandes découvertes de cette rentrée littéraire. C'est un premier roman. L'auteur raconte son enfance, entouré de quatre frères, d'un père alcoolique et d'une mère colère. Dans ce chaos apparent, se nichent pourtant des fulgurances lumineuses. L'écriture singulière de l'auteur est d'une beauté inoubliable.
Andrey Pineau – Librairie Divergences – Quimperlé

Un texte poignant divinement écrit; lorsque le fond et la forme se rejoignent en un manifeste pour le bonheur, envers et contre tout. À découvrir!
Librairie Masséna – Nice